Un combat ? Des pirates ? [suite à la plage]

Çà y est, nous sommes désormais au printemps, et je pense que nous devons renforcé la sécurité du village, c'est dernier temps j'ai reçu des rapports disant que des pirates traversaient la forêt mais il ne sont pas très dangereux. C'est la raison pour laquelle je me décide à allez vers la forêt des bambous pour réglé cette histoire une bonne fois pour toute et laisser la paix que ce village mérite, notre armé de samouraï n'est pas assez nombreuses pour pouvoir constitué de grande patrouille le long des flots. Je pense même engagé mes samouraï pour faire passé les autres samouraï en leur expliquant ce que j'attends d'eux; des hommes ou femme fort, déterminé et patriote de leur patrie! Moi cela me prends, comme je l'ai déjà dit une journée pour deux nouveaux samouraï. C'est ça que je devrai faire d'ailleurs, je me muni alors d'une simple feuille de papier et d'un peu d'ancre que j'avais pris au par avant, car je pense faire deux rapports, un avant de me battre contre les pirates et un autre après mettre battu contre eux. Je préviendrais aussi les chasseurs, Yumigo ou Ansatsu par exemple, pour leur dire de ne pas allez dans les environs et de rester dans le village le temps que la menace pirate cesse. Bon écrivons ce fichu rapport
Ici Aïko Shinzo commandant en chef des samouraïs vous écrit de la forêt des bambous pour vous prévenir de fermer les portes du village, en effet suite au dernier rapport que j'ai reçu, je demande au samouraï qui sont en fonction de combattre de me rejoindre, ici, à la forêt des bambous d'ici trois heures. Je veux que les villageois restent dans le village, pour ne pas les inquiété prétexter un exercice. Dehors je veux voir que des samouraïs ou des pirates mais rien d'autres, compris ? Quand à moi j'ai un plan.

Des pirates ça viens de l'eau non ? Alors j'ai une petite idée au sujet de comment les battre et pour ça il faut que je gagne la plage au plus vite mais avant je doit faire mon plan, bon allons y. Tiens j'apperçoit le chef du village, je pense devoir le prévenir

-Kotchisura viens là, je dois te parler !

Un beau matin de printemps, je dois l'avouer... Il est tellement agréable de sentir une petite brise fraîche sur la nuque que le froid mordant de l'hiver. Bien que je n'ais pas beaucoup dormi de la nuit, cette nature si fleurie me revigora bien vite. Je m'étais levé assez tôt pour tout dire, laissant mon chat profiter des rayons matinales du soleil.

Je me dirigeais alors vers les échoppes pour commencer ma journée. L'épicerie Jinsen n'était pas vraiment bondée de monde et j'en profita pour voir son propriétaire. Enfin, je veux dire sa propriétaire, Shian Takeshi. Depuis un certain temps, nous avions été compagnons de fortune pendant la reconstruction du village mais elle est également mon amie d'enfance. Elle venait de rentrer d'un de ses innombrables voyages à l'étranger et a donc rapporté d'autres objets rares ou encore inconnus. Me saluant comme à son habitude en m'enlaçant dans ses bras, Shian restait la même en me demandant si j'étais pas tombé dans les pommes pendant son périple. La sachant très protectrice envers moi, je la rassura de quelques mots puis, quelque chose attira mon attention. Pendant que j'examinai l'objet en question, j'entendis la porte de l'échoppe s'ouvrir, laissant apparaître deux hommes sur le seuil. Ils avaient, tous deux, des sabres au côté signifiant leur appartenance à des familles de samouraïs. Ils parlaient d'un ton rapide et même exaspéré. M'arrachant à la contemplation de l'objet que je tenais dans les mains, je ne pus m'empêcher de les écouter. Il semblerait que Aïko les aient convoqué pour quelque raison inexplicable pour le moment. Ils ne semblaient pas très enthousiastes de devoir rejoindre leur dirigeante, soit à cause de son caractère soit parce qu'ils voulaient se vouer à leurs activités qu'à leurs devoirs. Puis, un des deux m'aperçut et écarquilla les yeux comme s'il avait vu le Diable en personne. Faisant un signe discret à son compère, ils sortirent. Je ris intérieurement puis, discuta encore quelques minutes avec Shian à propos de son voyage. Finalement, en lui adressant un 'au revoir', je m'extirpa à mon tour de l'échoppe qui se remplissait peu à peu.

Je me décida alors de retourner chez moi jusqu'à que je sentis une énorme foule d'âmes humaines regroupée vers la forêt de bambous que je pouvais apercevoir grâce aux sommets de ses longues tiges. Cela devait être le lieu où Aïko rassemblait ses hommes. Pris de curiosité, je me dirigea vers le groupe.

Cela me faisait une petite trotte mais elle devait en valoir la peine car lorsque je suis assez proche du groupe, une voix m'interpella. Comme d'habitude, je m'y attendais pas et il n'y a qu'avec cette chère dirigeante que l'on pourrait obtenir des phrases aussi rapides qu'un éclair.
"Kotchisura viens là, je dois te parler !"
Sur le moment, j'ai cru être un petit chien à la botte de Aïko, vu le ton familier. Mes pas tournèrent alors vers elle et je lui demandai :
"Qu'y-a-t-il? Quelque chose de grave?"

(Kotchisura)"Qu'y-a-t-il? Quelque chose de grave?"

Grave je ne sais pas, mais il y a quelque chose ça c'est sûr et c'est la raison pour laquelle il y a du monde ici, c'est à cause des rapports que j'ai reçu ces dernier temps, et il m'inquiète un peu... Regarde ça par exemple:

Suite à ce rapport j'ai décider de réagir, j'ai demander à tous nos hommes apte à combattre de venir ici, pour la simple et bonne raison que j'ai un plan, nous allons en cerclé la totalité tout le village; j'appelle ça le rideau de défense. Nous allons fermer les portes du village. Et dés lors où tout ça sera mis en place je partirai combattre l'ennemi. Comment? C'est très simple j'irai à la plage; le seul endroit où les pirates arrivent en bateau, je détruirai tout leurs bateaux et ensuite nous nous occuperont de nettoyer le reste de la zone, comme ça aucun ne s'échappera. Tu viens avec moi?

Soudain, je venais de me rendre compte que je tutoie un peut trop facilement le Chef du village, je dois peu être me calmer un peu. Tout à coup je sens comme une légère brise fraiche, les bambous commencer à bouger ainsi que le feuille au sol, ce sont les pirates ! Je jette un regard discrètement à mes samouraïs pour s'en occuper, et en un rien de temps la petite équipe de deux personnes est morte.

Samouraïs construisez le rideau de fer, je veux recevoir un rapport dés que le système sera mis en place!

Aïko me présenta le rapport qui concernait ... des pirates. Voilà une preuve de l'efficacité de cette dirigeante rapide et directe comme la foudre. J'examina le papier, et finis par éclater de rire. Loin de penser que cela puisse choquer certains. Je parais bien puéril.
D'après les descriptions, ils m'étaient bien familiers car j'avais déjà combattu en compagnie de mes amis ce clan de pirates. Les membres de ce clan étaient assez faibles et ils avaient encore le cran de nous attaquer. Si je m'en rappelle bien, je n'avais que quatorze ans la première fois qu'ils nous ont attaqué et nous n'étions que huit à protéger les constructions que nous avions réalisé. Mais enfin, voilà que je me perds dans mes pensées encore une fois, mais en repensant à la situation, ils ont quand même des avantages sur nous et pourraient par exemple prendre en otage des villageois en abordant par les plages. Nous avons plus de monde à protéger coûte que coûte. Mais bien heureusement, l'avantage pour nous est que nous avons quelques soldats encore aguerris pour partir en bataille contre ses barbares.

Peut-être qu'ils avaient entendu de notre commerce prospérant et de cette repopulation de masse sur l'île et ont décidé de nous attaquer? Bref, là n'est pas la question.

"Je te suis mais je pense qu'il serait plus avantageux de prendre quelques hommes avec nous, des combattants assez forts pour retenir ses envahisseurs loin du village. Nous ne sommes pas certains de pouvoir battre un nombre indéterminé d'ennemis à deux. Et de mon point de vue, certains des villageois sont aptes à se protéger eux-mêmes et leur famille." Car il se peut que ses pirates soient plus nombreux qu'auparavant et peut-être se sont-ils endurcis. Heureusement, j'avais apporté mes sabres ce jour-là et donc, il y a moins de temps à perdre. Je donna le rapport à un samouraï situé à côté de moi et dit à Aïko : "Alors, où allons-nous? Vers la plage du côté Est ou vers les plages de la colline Suzaku?"

Après m'avoir expliqué sa version des choses, j'entendis quelques uns de mes soldats en discuter, et c'est sur la seconde près que je leur dis de venir avec nous. Et Kotchisura a raison, on ne connait rien de l'ennemi, si ce n'est que ce sont des pirates, pas exceptionnellement doué en combat, mais leur nombre peut vite changer la donne, de plus s'ils arrivent avec des bateaux pirates nous devrons préparé une contre attaque. Je devrais me faire seconder par un chef des tactiques de défense et de contre attaque, comme ça cela donne un plus grand pourcentage de réussite pour chaque missions que nous exercerons. En règles général je dois faire attention à Kulin, mais ces temps-ci je ne le sens pu en moi, bien que j'ai toujours mes pouvoirs... Quelque chose se prépare, du moins lui prépare quelque chose sur moi. Aujourd'hui et comme tout les autres jours je porte sur moi une gourde de deux litre d'eau chaude sur moi. Pourquoi, la réponse est très simple, depuis ma visite au Osen j'ai compris que Kulin redouté la chaleur j'en ai donc profité pour prendre une gourde sur moi pour pouvoir ainsi prendre de l'eau, et prendre cette gourde toujours sur moi. Comme ça Kulin sens la chaleur qui se dégage de la gourde et ne prends que rarement forme. Je dois tout de même le maitriser. Bon allons donné ma réponse:

Bien Kotchisura, j'adhère à ton offre. Je prends mes meilleurs homme avec nous, annulé le rideau de fer. Mais garder toute fois un oeil sur le village. Romper !Bien Kotchisura allons à la plage.

"Bien Kotchisura, j'adhère à ton offre. Je prends mes meilleurs homme avec nous, annulé le rideau de fer. Mais garder toute fois un oeil sur le village. Romper !Bien Kotchisura allons à la plage." me répondit-elle. Je la regarda pour lui répéter ma question, mais je me ravisai. De toute façon, nous avons assez perdu de temps. Je dus la suivre car je n'avais aucune idée à quelle plage Aïko veut se diriger... Et puis, son cerveau doit tellement travaillé à la vitesse de la lumière qu'il n'a pas dû enregistré les petites futilités que je viens de dire.

*Si ce n'est pas pitoyable, petit humain...*
*Akuryô, ne commences pas à te moquer de moi...*
*Tsk... Il me semblait posséder un petit chiot qui suit sa mère... Vraiment, tu n'es vraiment pas débrouillard... En plus, il faut que tu sois mené par une femelle...*
*... Et alors?*
*... Aha ha ha! 'Et alors?' C'est tout ce que tu peux dire alors que tu te fais dominer par une femelle de ton espèce? Tout ce que je te dis n'est que la stricte vérité... Quand je pense que tu es leur chef de ... comment dis-tu dans ta langue? ... de 'village'? A ceux de ton espèce? Franchement, j'ai vu des animaux mener bien mieux leurs compatriotes...*
Je le laissa alors parler dans le vide... C'est vrai que je n'ais pas l'étoffe d'un chef mais qu'est-ce que j'y peux? Les autres m'avaient désigné alors que j'étais le plus jeune de tous et peut-être le plus immature. Ils auraient refusé de choisir quelqu'un d'autre par le fait que ce quelqu'un n'ait pas participé à cette lutte sanglante. Mais en y repensant, je crois que j'avais entendu une conversation entre le précédent chef et mon père. Mais je n'étais qu'un enfant alors je n'avais pas vraiment saisi la plupart des mots, beaucoup trop compliqués pour mon âge. Mais si je m'en souviens bien, le chef voulait faire de mon père son successeur car il n'avait plus assez de forces pour diriger. Je pense que les autres ont été au courant, du-moins les plus âgés d'entre nous huit, et ont voulu suivre le souhait du chef. Enfin, pensons-y après ce combat.

*IMBECILE!!!* tonna la voix de Akuryô. Je sursauta et cogna par derrière Aïko que je suivais. Me tenant la tête d'une main, je vis que nous étions arrivé à la plage de l'Est, la plus proche de la forêt de bambous. "E-Excuses-moi..." dis-je à Aïko, encore sonné et cette maudite panthère qui rit tout son soûl...